La BMC s’est imposé sur le contre-la-montre par équipe. Avec Richie Porte, Patrick Bevin, Tejay Van Garderen, Greg Van Avermaet, Stefan Kung ou Michael Schar parmi les huit coureurs alignés par Jim Ochowicz, la formation américaine partait favori de cet effort par équipe. Ils ont répondu présent en terminant ce chrono à près de 55 kilomètres par heure. Coup double pour la BMC puisque Greg Van Avermaet s’empare du maillot jaune.
????????@BMCProTeam wins stage 3 (TTT) of ????????@LeTour
????????@GregVanAvermaet is the new wearer of the yellow jersey#tdf #tdf18 #tdf2018 (????@LeTour)pic.twitter.com/A4bx5OXaIL— World Cycling Stats (@wcstats) 9 juillet 2018
Journée plutôt tranquille pour Dion Smith (Wanty Groupe Gobert) qui a conservé son maillot à pois ce lundi. Le Néo-Zélandais qui est passé en tête du grimpeur de quatrième catégorie la veille, avait chipé la tunique de meilleur grimpeur à Kevin Ledanois (Fortuneo Samsic). Pas de points distribués ce lundi sur ce contre-la-montre par équipe et Smith a pu parader sur le podium une nouvelle fois. Mardi, il devra le défendre puisqu’un grimpeur sera placé sur le tracé entre La Baule et Sarzeau.
Quiet day for @DionSmithy who retains his polka-dot jersey! ?????
Journée sans souci pour @DionSmithy qui conserve son maillot à pois un jour de plus ! ?????#TDF2018@CarrefourFrance pic.twitter.com/H3yBzoQ7bR— Le Tour de France (@LeTour) 9 juillet 2018
Si l’équipe AG2R La Mondiale n’a pas réalisé un temps parfait sur le chrono par équipe ce lundi, les hommes de Vicent Lavenu ont tout de même limité la casse. Au final, les terre et ciel ont concédé une minute et quinze secondes sur la BMC. A l’issue de l’étape, Romain Bardet a tenu à féléciter ses coéquipiers qui ont tout donné pour placer leur leader dans les meilleures conditions avant que la montagne s’élève sur les routes du Tour.
Romain Bardet a pris le temps de féliciter chacun de ses coéquipiers, à l’arrivée. #TDF2018 pic.twitter.com/84W9Y6xKWx
— Mathilde L’Azou (@MathildeLAzou) 9 juillet 2018
C’est désormais un classique. Avant de prendre part au contre-la-montre par équipe, les formations ont du présenter leurs vélos au contrôle. Et l’embouteillage était monstre. Il faut bien évidemment peser les cycles. Sans oublier le contrôle thermique pour vérifier qu’aucun mécanisme n’aide les coureurs lors de l’étape.
Embouteillage au contrôle ! ????????????????
Traffic jam at the mechanical check! ????????????????#TDF2018 pic.twitter.com/fCMyUxd4r4— Le Tour de France (@LeTour) 9 juillet 2018
-Léo Labica