Corticoïdes et Tramadol seront interdits en janvier 2019. Le comité directeur de l’UCI a pris deux décisions contre l’usage des corticoïdes et du Tramadol. Pour ce qui concerne les corticoïdes, le Mouvement pour un Cyclisme Crédible (MPCC) veut procéder à des contrôles pré-compétition, pour détecter un niveau bas de cortisol qui entraînerait une impossibilité de départ. Pour ce qui est du Tramadol, l’UCI redoute ses effets indésirables, comme la perte de vigilance, la somnolence ou encore les vertiges. Ces deux mesures devraient être mises en place dès janvier 2019.
Maxime Bouet libéré. Le français Maxime Bouet (Fortuneo-Samsic) s’est imposé hier sur la première étape du Tour de Savoie Mont-Blanc et a ainsi débloqué le compteur de victoire de l’équipe. « Je suis vraiment content pour l’équipe, on le mérite, j’ai reçu beaucoup de messages en interne, j’espère que cette victoire va nous servir pour la suite. », déclare le Marseillais d’adoption.
Nairo Quintana restera chez Movistar. Comme l’an passé, des rumeurs circulent quant au fait que Nairo Quintana change d’équipe, pour la Sky ou Astana. Sous contrat jusqu’en 2019 avec la formation espagnole, le Colombien semble vouloir y rester. « C’est vrai, ce n’est pas un mystère, dans le passé il y a eu des frictions entre Nairo et Eusebio Unzué, le manager de Movistar, mais aujourd’hui leur relation est excellente. Le coureur est ravi de faire partie de l’une des équipes les plus fortes du monde et il est super concentré et motivé pour bien faire à partir du 07 juillet. Bien sûr, beaucoup s’intéressent à lui, mais je vous assurer qu’il va rester chez Movistar, pour lui maintenant c’est une famille. », explique son agent. Rendez-vous dans un peu plus de deux semaines pour le grand départ du Tour, avec à ses côtés Mikel Landa et Alejandro Valverde.
Adrien Petit dans l’attente. Le Nordiste a déjà participé et terminé la Grande-Boucle à trois reprises et il espère de nouveau être au départ. Sa formation Direct-Energie n’a pas encore annoncé sa sélection, il est dans l’attente. « C’est un choix compliqué, il y a de quoi faire. C’est sûr qu’avec un départ en Vendée, on aura certainement besoin d’un Vendéen, c’est clair. Après il y a pas mal d’étapes qui me tiennent à coeur. On parle d’Amiens avec cette étape qui sera normalement très venteuse, mais aussi Arras-Roubaix, celle qui fait peur aux coureurs qui jouent le général. Celle-ci, je la connais bien, je n’y suis pas encore retourné mais je connais quasi tous les secteurs par coeur. », évoque Adrien Petit, qui sera fixé dans les jours à venir.
Par Maëlle Grossetête