Joshua Dubau portrait | © Olivia Nieto
Quel bilan tires-tu de ta première saison chez les élites pour le moment ?
Je suis satisfait de mon début de saison mais pas vraiment des dernières compétitions. J’ai été malade et ça m’a mis un peu à plat.
A deux jours du championnat de France, comment te sens-tu physiquement et mentalement ?
Je ne sais pas vraiment, je pense être bien… Mais on verra dimanche, la course nous le dira.
À la vue de la météo annoncée, le terrain devrait être boueux dimanche. Le circuit peut te convenir ? tu l’apprécies ?
La boue ce n’est pas ce que j’affectionne le plus mais si c’est boueux je m’adapterai. Ce n’est pas un circuit que j’apprécie plus que ça mais ce n’est pas grave. C’est pareil pour tout le monde.
Vous n’êtes pas loin d’une dizaine à pouvoir l’emporter, la course est très ouverte. Que peux-tu espérer là-bas ?
En effet cette année la course reste très ouverte mais il y a quand même de gros noms qui semblent forts. Je ne me fixe pas de place en particulier mais plutôt de faire ma course, donner le meilleur de moi-même afin d’aller chercher le plus beau résultat possible.
Allez-vous jouer une nouvelle fois la course d’équipe avec ton frère jumeau Lucas ?
Je ne peux pas savoir, je ne prévois jamais de scénario de course. Ça se fait « au feeling », à l’instant t.
Joshua Dubau à Flamanville | © Audrey Waltispergere
Quand arrives-tu sur place pour la reconnaissance ? C’est un point où tu vas passer beaucoup de temps ou pas étant donné que tu connais déjà le circuit ?
J’arrive ce soir à l’hôtel et je ferai la reconnaissance demain. Je ne vais pas trop m’attarder dessus, c’est juste histoire de faire quelques tours de circuit.
Quel sera la suite de ton programme jusqu’à la fin de la saison ?
Je serai au départ des deux dernières manches de la Coupe du Monde, à Pontchâteau puis à Hoogereide. Puis, si je suis sélectionné il y aura les mondiaux début février, mais ça reste à voir.
En ce début d’année 2019, as-tu pris de bonnes résolutions ?
(sourire) Non je n’ai pas pris de bonne résolution.
Par Maëlle Grossetête